Une malade voit son esprit transféré dans un corps artificiel.
Lorsque sa femme, Amelia est frappée d’un anévrisme qui la laisse alitée et la voit mourir à petit feu, le policier Carter Summerland cherche un moyen de prolonger sa vie. Il est abordé par Wesley Enterprises qui lui propose de faire d’Amelia le cobaye d’un programme expérimental qui va mettre son esprit dans un nouveau corps artificiel. Par désespoir, Carter accepte. Mais le résultat est-il vraiment Amelia Summerland ? Ou est-ce totalement autre chose ? Situé dans un avenir très proche, The Summerland Project, rebaptisé récemment Amelia 2.0, utilise la technologie actuelle et existante en tant que tableau de bord pour une histoire sur la fine frontière qui sépare la vie et la mort, et pose la question de ce qui nous rend humain, explorant les motivations de l’équipe qui a crée Amelia 2, de la géniale mais mordante Dr. Ellen Beckett à l’industriel généreux mais arrogant Paul Wesley, qui finance le travail. Explorant également les retombées dans la communauté scientifique, juridique et religieuse, l’opposition au projet étant menée par le sénateur passionné Williams. Ce drame de SF est interprété dans le rôle principal par la nouvelle venue Angela Billman. « Nous sommes tous sensibles au fait que cette technologie est déjà là, nous sommes en mesure de transplanter la vie elle-même », déclare le réalisateur Adam Orton, dont c’est le premier film. « Nous voulions façonner un récit autour des questions inévitables qui surgiront lorsque nous commencerons à transplanter l’essence d’un être cher dans un hôte. Notre histoire défie les limites de ce que les humains sont capables et montre les dangers possibles lorsque la technologie prend le relais ».