Un film de SF postapocalyptique russe où l’humanité risque de disparaître.
Dans Avanpost, diptyque dont la première partie sortira le 30 aout prochain, le réalisateur russe Egor Baranov (auteur de la trilogie Gogol) délaisse l’horreur et le fantastique pour plonger dans la SF post-apocalyptique. Aucune météorite n’a frappé la Terre, aucun terroriste n’a mis le monde en danger, aucune guerre atomique n’a été déclenchée, mais quelque chose s’est mal passé. Le contact entre la plupart des villes de la Terre a été rompu. Une petite zone en forme d’anneau en Europe de l’Est possède encore de l’électricité et peut-être même la vie est-elle détectée depuis l’espace. Ce que les forces militaires découvrent à l’extérieur de cet anneau est choquant. Il y a des cadavres partout : dans les magasins, dans les voitures, sur les routes, dans les hôpitaux et les gares. Qui ou quoi détruit toute vie sur Terre ? Et combien de temps le dernier avant-poste de l’humanité survivra-t-il ? Cette histoire a été écrite par Illya Kulikov, jusqu’à présent auteur de séries télé ainsi que du thriller d’horreur Konvert l’an dernier.