Le classique mexicain de l`horreur « Mas Negro que la noche » vient de faire l`objet d`un remake en 3D coproduit avec l`Espagne…
« Darker than Night » (« Mas negro que la noche ») de Henry Bedwell, jusqu’ici spécialisé dans les documentaires, est le remake du célèbre film éponyme mexicain de 1975 dû au scénariste-réalisateur Carlos Enrique Taboada, auteur, depuis « Orlak, en infierno de Frankenstein » et » La maldicion de Nostradamus » en 1960, de nombreux scripts fantastiques tels, entre autres, ceux de « El espejo de la bruja », » Dos caballeros de espada », « Hasta el viento tiene miedo » ou » El libro de piedra », dont la carrière trop méconnue ici conviendrait d’être étudiée attentivement. Une jeune femme, Greta, hérite d`un vieux manoir laissé par sa tante à une seule et unique condition : prendre bien soin du chat noir de celle-ci, nommé Beler. Une requête en apparence simple et facile. Lorsque notre héroïne s`installe dans la demeure avec trois de ses amies, pour y passer quelques jours, des choses étranges commencent à se produire. Des voix bizarres, des visions de fantômes, et des bruits mystérieux qui les conduisent à découvrir les pouvoirs les plus sombres du Mal… Cette nouvelle version d`un classique de l`horreur, coproduite cette fois avec l`Espagne, est le premier film d`action mexicain tourné directement en 3D. À l’instar de l`original, qui lança la carrière de Lucia Mendez (« El maleficio II ») et consolida celles de Claudia Islas et Helena Rojo (« Mary, Mary, Bloody Mary » de Juan Lopez Moctzeuma), conserve l`emblématique présence du chat noir aux yeux jaunes. Lorsque l`animal est malheureusement retrouvé mort, débute alors une persécution sanglante fomentée par son ancienne propriétaire, la tante décédée, qui se venge d’outre-tombe. « La 3D du film s`appuie sur une nouvelle technologie qui a été mise au point en Espagne, ce qui permet une plus grande mobilité des caméras et donne une dimension plus profonde aux scènes », explique le producteur Leonardo Zimbrón. L`idée est venue de son coproducteur espagnol Antonia Nava (« Fragile », « La nonne », « Darkness », « Abandonnée »), dont la participation a permis de revoir à la hausse le budget du métrage. A l`instar de certains autres fleurons du genre, le tournage du film fut émaillé d`incidents inquiétants si l’on en croit les déclarations de son signataire, Henry Bedwell…
voir la bande annonce :
Le classique mexicain de l`horreur « Mas Negro que la noche » vient de faire l`objet d`un remake en 3D coproduit avec l`Espagne…
« Darker than Night » (« Mas negro que la noche ») de Henry Bedwell, jusqu’ici spécialisé dans les documentaires, est le remake du célèbre film éponyme mexicain de 1975 dû au scénariste-réalisateur Carlos Enrique Taboada, auteur, depuis « Orlak, en infierno de Frankenstein » et » La maldicion de Nostradamus » en 1960, de nombreux scripts fantastiques tels, entre autres, ceux de « El espejo de la bruja », » Dos caballeros de espada », « Hasta el viento tiene miedo » ou » El libro de piedra », dont la carrière trop méconnue ici conviendrait d’être étudiée attentivement. Une jeune femme, Greta, hérite d`un vieux manoir laissé par sa tante à une seule et unique condition : prendre bien soin du chat noir de celle-ci, nommé Beler. Une requête en apparence simple et facile. Lorsque notre héroïne s`installe dans la demeure avec trois de ses amies, pour y passer quelques jours, des choses étranges commencent à se produire. Des voix bizarres, des visions de fantômes, et des bruits mystérieux qui les conduisent à découvrir les pouvoirs les plus sombres du Mal… Cette nouvelle version d`un classique de l`horreur, coproduite cette fois avec l`Espagne, est le premier film d`action mexicain tourné directement en 3D. À l’instar de l`original, qui lança la carrière de Lucia Mendez (« El maleficio II ») et consolida celles de Claudia Islas et Helena Rojo (« Mary, Mary, Bloody Mary » de Juan Lopez Moctzeuma), conserve l`emblématique présence du chat noir aux yeux jaunes. Lorsque l`animal est malheureusement retrouvé mort, débute alors une persécution sanglante fomentée par son ancienne propriétaire, la tante décédée, qui se venge d’outre-tombe. « La 3D du film s`appuie sur une nouvelle technologie qui a été mise au point en Espagne, ce qui permet une plus grande mobilité des caméras et donne une dimension plus profonde aux scènes », explique le producteur Leonardo Zimbrón. L`idée est venue de son coproducteur espagnol Antonia Nava (« Fragile », « La nonne », « Darkness », « Abandonnée »), dont la participation a permis de revoir à la hausse le budget du métrage. A l`instar de certains autres fleurons du genre, le tournage du film fut émaillé d`incidents inquiétants si l’on en croit les déclarations de son signataire, Henry Bedwell…
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