Un couple ignorant les avertissements va affronter le pire.
D’ascendance amérindienne Chevenne-Arapaho, le réalisateur Chris Eyre a toujours évoqué ses origines ethniques dans ses longs-métrages (Phoenix Arizona ,1998, Skins, 2002). Avec Dead River, en préproduction, il aborde pour la première fois l’horreur. Deux couples en difficulté s’aventurent en canot pour le week-end en ignorant les légendes indiennes qui déclarent que certaines rivières ne devraient pas être naviguées en raison de leur nature spirituelle et « mortelle ».