Distribué le 27 janvier en G-B, «The White King» est un film de SF dystopique avec Jonathan Pryce….

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mardi 22 novembre 2016

 

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Drame de SF dirigé par le tandem mari et femme Alex Helfrecht et Jorg Tittel, ( ce dernier étant concepteur de jeux vidéos et de romans graphiques), « The White King » est leur premier long-métrage, d’après un roman de György Dragomán s’inspirant de son expérience d’avoir grandi dans la Roumanie de Ceausescu. Coproduction G-B/Allemagne/Suède/Hongrie, […]

Drame de SF dirigé par le tandem mari et femme Alex Helfrecht et Jorg Tittel, ( ce dernier étant concepteur de jeux vidéos et de romans graphiques), « The White King » est leur premier long-métrage, d’après un roman de György Dragomán s’inspirant de son expérience d’avoir grandi dans la Roumanie de Ceausescu. Coproduction G-B/Allemagne/Suède/Hongrie, où l’on retrouve Jonathan Pryce, Fiona Shaw, Greta Scacchi et Derek de Lint, le film se situe dans un futur dystopique, dans un pays de l’Ouest qui pourrait être les USA. Il y a 30 ans, une révolution s’est produite dans le Homeland, devenu maintenant un état autoritaire. Djata, jeune garçon de 12 ans via les yeux duquel l’histoire est racontée, et sa mère Hannah sont laissés seuls après que le mari de celle-ci, Peter, ait été pris par les autorités pour avoir parlé contre le gouvernement. Alors qu’ils essaient de le localiser, Djata doit naviguer dans l’univers où il grandit, une dictature brutale coupée du monde extérieur, où les valeurs sont la conformité et le silence, tandis que sa mère doit décider si elle doit tendre la main à ses beaux-parents, héros de l`Etat qui ont pour aversion l’attitude dissidente de Hannah, afin de l`aider à trouver son époux. «Dans mon roman, je voulais montrer l’expression de la liberté dans une société où celle-ci ne devrait pas exister. Dans leur film Alex et Jorg ont été suffisamment courageux pour prendre mon histoire d’une enfance sous le régime communiste et de l’adapter dans un contexte moderne, nous révélant que la menace de l’atteinte à la liberté est aussi éternelle que le combat que nous livrons pour elle` commente György Dragomán. A noter que l’actrice Olivia Williams (« The Last Days on Mars ») a prêté sa voix à Sophia, l`un des robot humanoïde les plus avancés au monde créé par Hanson Robotics basé à Hong Kong, une société fondée par le Dr David Hanson, qui avait précédemment travaillé comme sculpteur et conseiller technique chez Disney Imagineering.

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