Une jeune femme à la poursuite de sa mémoire perdue.
Familier des films d’horreur depuis 1994 (Savage Harvest, Ice from the Sun, Deadwood Park), voire gores (Ratline), le réalisateur Eric Stanze, propriétaire de la firme Wicked Pixel Cinema et surnommé « Le Roi du Cinéma Underground », a produit une vingtaine de longs-métrages du genre depuis ses débuts. Avec In Memory Of, il aborde des thèmes de SF. Lorsqu’une expérience médicale se transforme en un cauchemar sanglant, l’unique cobaye survivante s’échappe pour sauver sa vie. Privée de ses souvenirs d’enfance les plus précieux, entachés par des hallucinations horribles, et poursuivie par ceux qui profitent de son cerveau endommagé, Amber Sheridan (Jackie Kelly, vue dans la récente comédie d’épouvante Tennessee Gothic) entreprend un voyage à travers le pays pour retrouver un étranger mystérieux – un homme qui a la capacité de mettre fin à la folie d’Amber, et de restaurer les souvenirs qui lui ont été volés.