Lin Shaye, vedette féminine de JACK GOES HOME, thriller d’horreur psychologique en tournage actuellement…
En tournage à Kingston, dans l’état de New York, « Jack Goes Home », mêlant drame familial et film d’horreur, écrit et réalisé par Thomas Dekker, a pour héros Rory Culkin, dans le rôle-titre, celui d’un jeune qui, sur le point d’être père de famille, doit revenir dans sa ville natale de Denver, au Colorado, s’occuper de sa mère traumatisée suite à un accident de voiture ayant coûté la vie de son mari. Laquelle est interprétée par Lin Shaye (« Insidious : Chapitre 3 »). Apparue dans un certain nombre de productions du genre ces derniers temps (« Helen Keller vs. Nightwolves », « Abattoir »), elle est également la vedette de « Bayou Tales », de David DuBoss, distribué l’an prochain, où au milieu de l’approche d`un ouragan, un jeune étranger se réfugie dans un café délabré géré par un homme étrange qui lui raconte des histoires bizarres et horribles. Bientôt, il devient évident qu`il a été amené là pour une raison, connue seulement du vieil homme qui détient la clé de son avenir.
Flash-back : Fan du genre et apparu dans certains feuilletons fantastiques «Heroes», «Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor») ainsi que dans « Freddy – Les griffes de la nuit » et « Fear Clinic », Thomas Dekker réalise actuellement « Jack Goes Home », avec Nikki Reed (Rosalie Hale dans la saga « Twilight ») et Britt Robertson (la jeune héroine de « A la poursuite de demain »). Le dénommé Jack, rédacteur en chef d’un magazine, vit à Los Angeles. Après que son père ait été tué dans un accident de voiture, Jack se rend dans leur maison familiale du Colorado pour aider sa mère, qui a été blessée dans l`accident, à retrouver la santé. Sur place, il découvre des secrets enterrés depuis longtemps et qui concernent l’histoire de sa famille, ses parents, ses amis et son identité-même. «C’est le genre de film d’horreur qu’on ne peut pas reléguer facilement au rayon slasher. Car, à parts égales, c’est également un drame familial et, plus important, une méditation sur le deuil» déclare Thomas Dekker à propos de ce film tourné à New York.
Film d’horreur psychologique, JACK GOES HOME, qui sort le 14 octobre aux USA, met en vedette Lin Shaye.
Tourné à Kingston, dans l’état de New York, « Jack Goes Home », mêlant drame familial et film d’horreur, écrit et réalisé par Thomas Dekker, a pour héros Rory Culkin, dans le rôle-titre, celui d’un jeune qui, sur le point d’être père de famille, doit revenir dans sa ville natale de Denver, au Colorado, s’occuper de sa mère traumatisée suite à un accident de voiture ayant coûté la vie de son mari. Laquelle est interprétée par Lin Shaye (« Insidious : Chapitre 3 »). Apparue dans un certain nombre de productions du genre ces derniers temps (« Helen Keller vs. Nightwolves », « Abattoir »), elle est également la vedette de « Bayou Tales », de David DuBoss, distribué l’an prochain, où au milieu de l’approche d`un ouragan, un jeune étranger se réfugie dans un café délabré géré par un homme étrange qui lui raconte des histoires bizarres et horribles. Bientôt, il devient évident qu`il a été amené là pour une raison, connue seulement du vieil homme qui détient la clé de son avenir.
Fan du genre et apparu dans certains feuilletons fantastiques «Heroes», «Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor») ainsi que dans « Freddy – Les griffes de la nuit » et « Fear Clinic », le réalisateur Thomas Dekker a dirigé dans le film Nikki Reed (Rosalie Hale dans la saga « Twilight ») et Britt Robertson (la jeune héroine de « A la poursuite de demain »). Le dénommé Jack, rédacteur en chef d’un magazine, vit à Los Angeles. Après que son père ait été tué dans un accident de voiture, Jack se rend dans leur maison familiale du Colorado pour aider sa mère, qui a été blessée dans l`accident, à retrouver la santé. Sur place, il découvre des secrets enterrés depuis longtemps et qui concernent l’histoire de sa famille, ses parents, ses amis et son identité-même. «C’est le genre de film d’horreur qu’on ne peut pas reléguer facilement au rayon slasher. Car, à parts égales, c’est également un drame familial et, plus important, une méditation sur le deuil» déclare Thomas Dekker.
