Marquant les débuts de réalisateur de long-métrage de Clive Tong, jusqu’alors à l’œuvre sur des vidéo-clips, « Mara », récit surnaturel imaginé par Jonathan Frank, avec Olga Kurienko (« Quantum of Solace »), Javier Botet (« It », « The Mummy »), Melissa Bolona (« The Neighbor ») et Craig Conway se base sur la mythologie et le vrai phénomène de la paralysie du sommeil, communément appelé le syndrome de mort subite inattendue, caractérisé par l’impossibilité de bouger ou de parler, souvent associée à une sensation de présence inquiétante et à des hallucinations. Sa victime, tout à fait consciente, se trouve dans l’incapacité d’effectuer tout mouvement volontaire. Le caractère étrange et déconcertant de cette paralysie du sommeil, mentionnée dans les traités médicaux depuis l’Antiquité, a été à l’origine, au cours des âges et à travers les diverses cultures, de nombreuses superstitions et thèmes mythologiques ou fantastiques, dont nombre d’artistes, peintres et écrivains se sont inspirés, tels Maupassant pour «Le Horla». L’héroine du film, la psychologue criminelle Kate Fuller est affectée à l`assassinat d`un homme qui a apparemment été étranglé dans son sommeil par sa femme, le seul témoin étant leur fille de huit ans, Sophie. Alors que Kate étudie le mystère d`un ancien démon qui tue les gens dans leur sommeil, elle éprouve les mêmes symptômes pétrifiants que toutes les victimes précédentes victimes et plonge dans un cauchemar effrayant pour se sauver elle-même et Sophie avant d’oser glisser à nouveau dans le sommeil.
La paralysie du sommeil à l’œuvre dans MARA de Clive Tong…

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Marquant les débuts de réalisateur de long-métrage de Clive Tong, jusqu’alors à l’œuvre sur des vidéo-clips, « Mara », récit surnaturel imaginé par Jonathan Frank, avec Olga Kurienko (« Quantum of Solace »), Javier Botet (« It », « The Mummy »), Melissa Bolona (« The Neighbor ») et Craig Conway se base sur la […]