Dans le canadien Neon Lights, de Rouzbeh Heydari, le magnat de la technologie Clay Amani se retire dans un endroit hors réseau à la recherche de sens et de paix, avec des semblables déconnectés et leur progéniture… Mais tous vont être pris dans une tuerie glaçante dans leur nouveau domaine. « La richesse du monde humain n’est pas de posséder du matériel. La richesse du monde humain réside dans le fait de pouvoir accéder à ce qui est en nous. Nos esprits ne sont pas des pages blanches, ce sont des portes vers un infini labyrinthe. Une bibliothèque de possibilités absolues, et nous pouvons choisir d’ouvrir, de fermer ou même de détruire ces portes dans l’ordre ou la manière que nous désirons », déclare le réalisateur. « C’est précisément ce que nous explorons dans Neon Lights : mettre en place un thriller psychologique contemporain, qui non seulement laisse le public s’interroger sur la réalité, mais s’interroge sur lui-même, son but et les traumatismes intérieurs avec lesquels il doit encore composer. Une grande partie du film a pour but de provoquer une réflexion profonde, dans la lignée des œuvres d’Edgar Allan Poe ».