Les méfaits de la réalité virtuelle dans LET’S BE EVIL….
Dans le britannique « Let’s Be Evil » écrit par Elizabeth Morris, Jonathan Willis et Martin Owen, et réalisé par ce dernier (« L.A. Slasher »), trois accompagnateurs sont engagés pour superviser un programme d`apprentissage de pointe pour les enfants doués, qui portent des lunettes de réalité augmentée afin de les aider dans leur éducation. Dans le centre souterrain sécurisé où se déroule l’expérience, les événements vont rapidement se trouver hors de contrôle… Selon ses auteurs, le film se veut un «thriller de science-fiction moderne qui puise son inspiration dans le sous-genre des «enfants maléfiques» doté d’effets de réalité virtuelle innovants ».
Les méfaits de la réalité virtuelle dans LET’S BE EVIL….
Dans le britannique «Let’s Be Evil» écrit par Elizabeth Morris, Jonathan Willis et Martin Owen, et réalisé par ce dernier («L.A. Slasher»), trois accompagnateurs sont engagés pour superviser un programme d`apprentissage de pointe pour les enfants doués, qui portent des lunettes de réalité augmentée afin de les aider dans leur éducation. Dans le centre souterrain sécurisé où se déroule l’expérience, les événements vont rapidement se trouver hors de contrôle… Selon ses auteurs, le film se veut un «thriller de science-fiction moderne qui puise son inspiration dans le sous-genre des «enfants maléfiques» doté d’effets de réalité virtuelle innovants ».