Les terreurs nocturnes de la paralysie du sommeil à l’œuvre dans THE MAN IN THE SHADOWS….
Le phénomène de la paralysie du sommeil et des horreurs qui peuvent y être liées a inspiré un certain nombre de films, des « Griffes de la nuit » et ses séquelles aux plus récents « Marianne » (2011) du Suédois Filip Tegestedt et « The Nightmare » (2014), documentaire américain de Rodney Ascher. Le canadien « The Man in the Shadows », premier long de Joshua Fraiman, retourne aux sources de « Nightmare on Elm Street », mais avec une approche totalement sérieuse. Rachel Darwin est enceinte, enchaînés, et donne naissance à quelque chose de terrible, sous l’œil d’un individu vêtu de noir et coiffé d’un chapeau à larges bords. Elle se débat pour se réveiller, finit par ouvrir les yeux, mais l’homme est toujours là ! Le lendemain, elle découvre qu`elle est pas seule, que beaucoup d`autres voient également l’Homme au Chapeau. Son mari, Scott, la croit mais pense qu`il y a une explication scientifique. A savoir la paralysie du sommeil, les hallucinations étant induites de façon électromagnétique. Rachel parle de l’Homme au Chapeau lors d’une thérapie de groupe. Les toxicomanes et les solitaires la rejettent, sauf l’un des membres de l’assistance, William. Il y croit encore plus qu`elle-même – il pense qu’il s’agit d’êtres multidimensionnels, des ombres qui se nourrissent des âmes humaines. Tandis que les frustrations de Scott se développent, la santé mentale de Rachel se détériore. Elle glisse dans une sorte de rêve éveillé, confrontée aux horreurs de son passé. Les cauchemars sont eux de pire en pire. Il devient très difficile de différencier ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, et cela inclut l’Homme au Chapeau.
Voir la bande annonce :
Les terreurs nocturnes de la paralysie du sommeil à l’œuvre dans THE MAN IN THE SHADOWS….
Le phénomène de la paralysie du sommeil et des horreurs qui peuvent y être liées a inspiré un certain nombre de films, des « Griffes de la nuit » et ses séquelles aux plus récents « Marianne » (2011) du Suédois Filip Tegestedt et « The Nightmare » (2014), documentaire américain de Rodney Ascher. Le canadien « The Man in the Shadows », premier long de Joshua Fraiman, retourne aux sources de « Nightmare on Elm Street », mais avec une approche totalement sérieuse. Rachel Darwin est enceinte, enchaînés, et donne naissance à quelque chose de terrible, sous l’œil d’un individu vêtu de noir et coiffé d’un chapeau à larges bords. Elle se débat pour se réveiller, finit par ouvrir les yeux, mais l’homme est toujours là ! Le lendemain, elle découvre qu`elle est pas seule, que beaucoup d`autres voient également l’Homme au Chapeau. Son mari, Scott, la croit mais pense qu`il y a une explication scientifique. A savoir la paralysie du sommeil, les hallucinations étant induites de façon électromagnétique. Rachel parle de l’Homme au Chapeau lors d’une thérapie de groupe. Les toxicomanes et les solitaires la rejettent, sauf l’un des membres de l’assistance, William. Il y croit encore plus qu`elle-même – il pense qu’il s’agit d’êtres multidimensionnels, des ombres qui se nourrissent des âmes humaines. Tandis que les frustrations de Scott se développent, la santé mentale de Rachel se détériore. Elle glisse dans une sorte de rêve éveillé, confrontée aux horreurs de son passé. Les cauchemars sont eux de pire en pire. Il devient très difficile de différencier ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, et cela inclut l’Homme au Chapeau.
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