The School : enfer australien

mardi 23 mai 2017

 

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Un médecin enfermé dans une école étrange où elle va être mise à rude épreuve. Amy est une séduisante chirurgienne qui a beaucoup de succès professionnel, mais elle a cependant du mal à faire face à ses fonctions dans la salle des urgences et les responsabilités d’une jeune mère veillant sur son fils hospitalisé et […]

Un médecin enfermé dans une école étrange où elle va être mise à rude épreuve.

Amy est une séduisante chirurgienne qui a beaucoup de succès professionnel, mais elle a cependant du mal à faire face à ses fonctions dans la salle des urgences et les responsabilités d’une jeune mère veillant sur son fils hospitalisé et plongé dans le coma. Après avoir été réprimandée par son chef, le Dr Wang, parce qu’elle croit, de façon obsessionnelle, que son fils va se réveiller, elle se retrouve piégée à son tour dans un coma/purgatoire baptisé « L’École », un lieu abandonné où les enfants de son passé émergent pour la narguer et la tester, mettant en doute le fait qu’Amy puisse être capable de sauver son fils et de quitter cet endroit. Thriller surnaturel australien, The School a été écrit et réalisé par Storm Ashwood, dont c’est le premier long-métrage. En postproduction, il s’est tourné au Gladesville Mental Asylum, le plus ancien hôpital psychiatrique d’Australie, situé à Gladesville, une banlieue au sud-ouest de Sydney. Les personnes ayant des problèmes mentaux ou émotionnels de la région de Sydney, aussi bien que les pauvres ou les criminels, y étaient enfermées. Cet établissement réservait un sort cruel à ses patients, enchaînés, les punitions sévères ayant entraîné la mort d’un grand nombre d’entre eux. Construit pour 60 patients en 1838, on en dénombrait déjà 148 seulement six ans après. Les personnes âgées, infirmes ou invalides passaient ainsi toute leur vie attachées dans cet endroit sinistre, où les infirmières se révélaient des plus sadiques. Sous l’asile reposaient les corps anonymes de plus de 1000 individus. Ce lieu où tortures, abus sexuels et meurtres se succédaient offrait donc un cadre des plus propices à un film d’horreur…